« Dans notre volonté de toujours mieux servir les visiteurs et exposants, cette édition a été spécialement pensée pour répondre aux ambitions et aux défis que nous partageons tous, explique David Messier, directeur général de l’événement. La concentration des activités a été revue. Le nombre de pavillons est ainsi passé de quatre à trois, soit le Pavillon Jefo, le Pavillon Sollio Agriculture et le Centre BMO. Chacun d’entre eux opérera à partir de sa propre entrée et de sa propre billetterie. »
Expérience visiteur et nouveautés
Ces aires d’exposition présenteront de nouvelles activités et des espaces revus et optimisés. « La grande primeur de cette édition est certainement la Zone de l’érable, un espace entièrement consacré à l’acériculture, regroupant pour la première fois tous ces exposants sous un même toit, note M. Messier. La Zone Émergence, véritable vitrine pour les projets et technologies d’avant-garde et l’agriculture intérieure, revient dans un cadre renouvelé au Pavillon Jefo. Ce même pavillon accueille également l’Espace Desjardins, une nouvelle salle de conférences sur le plancher d’exposition conçue pour favoriser les échanges et accueillir jusqu’à 300 participants dans une ambiance dynamique et conviviale. Toutes les conférences s’y tiendront désormais. Les visiteurs apprécieront sûrement de ne plus avoir à chercher les différents lieux dans les différents pavillons. » David Messier révèle qu’il s’agit d’une décision logistique visant à favoriser une expérience visiteur optimisée.
Le transfert de connaissances comme pôle d’attraction
Comme l’explique le directeur général, cette 39e édition mise également sur la qualité des conférences offertes pour attirer les différents joueurs de l’industrie agricole, industrie aux prises avec un contexte économique difficile et plusieurs autres obstacles, des changements climatiques aux inactions politiques. « Accueillir des personnalités telles que Jean Fontaine, fondateur de l’entreprise internationale Jefo, Laurent Duvernay-Tardif, footballeur et résident en médecine, ou Bruno Guglielminetti, un spécialiste de l’intelligence artificielle de plus en plus présente dans les méthodes et pratiques agricoles, constitue certainement une source de transfert de savoir à valeur ajoutée. C’est ce savoir qui permet aux joueurs de l’industrie de réfléchir à l’avenir du secteur, de proposer des solutions et d’effectuer des choix éclairés », conclut David Messier, visiblement enthousiaste à l’idée d’offrir trois journées entièrement dédiées à l’avancement du monde agricole.